Inaugurés il y a longtemps, et n’ayant pas subi de rénovations depuis, nos espaces culturels sont délaissés. En plus de leur petit nombre, beaucoup d’entre eux sont fermés au public. Citons par exemple le musée des moudjahidin qui est presque laissé à l’abandon et qui ne s’anime qu’une fois par an à l’occasion d’ateliers organisés par la SEOR.Il y a aussi ces promesses répétitives qui ne se réalisent qu’une fois la semaine des quatre jeudis venue, comme celles concernant les bâtiments connus sous le nom de «Batimat Taliane» qui, a-t-on dit un jour, devaient être évacués et remplacés par un mégaprojet culturel, en annonçant même qu’une enveloppe financière de cinquante milliards de centimes lui a été dédiée. Aujourd’hui, ces bâtiments sont toujours là, pas encore détruits. Nous, citoyens, en avons assez. Et l’on ne parle pas encore de l’hygiène catastrophique et de la bousculade dans les mairies. Sortons un peu de ce cadre de vie, et regardons ce qui se passe autour de nous. En fait ce n’est qu’une fois que nous aurions réussi à mettre fin à la pénurie d’espaces culturels et publics que nous saurons enfin leur importance. Militons alors pour les espaces culturels et publics, et c’est nous qui serons récompensés dans notre quotidien
ça manque terriblement
Espaces publics et culturels:PAR DENNOUNI RANIA AHLEM
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26 mars 2013
La Voix des élèves